Aujourd’hui c’est le grand jour, mais comme le départ n’est que dans l’après midi, c’est encore chez nous que l’on se réveille. On a encore un petite liste de choses à faire mais le stress n’aide pas vraiment. On prépare un brunch : demande express des filles avant le départ .

Puis on s’attelle au sac, il reste quelques médicaments à mettre dedans et ce n’est pas chose aisée car on a déjà l’équivalent d’une pharmacie d’hôpital avec nous !

Les filles sont entre 2, l’excitation et la tristesse de quitter la famille et les amis. Et un malheur arrive…Louise a oublié son bracelet éléphant offert par chez Justine (offert par sa copine Justine qui revient juste de Thaïlande). Heureusement, Elise, sa maman a la bonté  de nous le déposer.

On a décider de partir tôt car les éléments sont contre nous. Aujourd’hui, le Tour de France part près de chez nous, donc plusieurs routes sont interdites d’accès, en plus, il y a des travaux sur l’autoroute et nos collèges de boulot toulousaines nous promettent 30 min de bouchon, sans parler des travaux de réfection de la route à 100 m de notre porte. Bref ! On part vers 12H15 car Maé stresse, comme on pouvez s’en douter, on arrive avec presque 3h30 d’avance mais c’est ça le voyage !

On dit au revoir à mamie Martine qui à bien voulu nous emmener à l’aéroport et C’EST PARTI… pour la zone internationale. On vous passe les détails, mais on commence à voir ce que c’est de devoir occuper 2 enfants excitées par le voyage et ce n’est pas si terrible, du moins pour l’instant !

1er vol pour Amsterdam sans encombre, un peu de retard mais rien d’impactant pour nous. L’aéroport n’est pas trop grand et on reste sur la KLM. 2ème vol pour Saint-Pétersbourg, légèrement plus tendu car l’heure tourne et es filles ne dorment pas alors que les parents se feraient bien une petite sieste.

On arrive à 1h local time. Contrairement à ce qu’on pensait, nous ne sommes pas les seuls à cette heure tardive (ou matinale), mais la douane est plutôt rapide, avec un douanier qui parle un peu français.

Nous voilà dans le grand bain et sans brassard. Le taxi qui devait nous attendre (envoyé par l’hôtel) n’est pas là, bon du coup, on va se chercher un taxi !

Nous réussissons avant de quitter l’aéroport à retirer de l’argent mais tout est en Russe sur ce distributeur alors je ne sais pas trop comment nous avons réussi.

Par contre le système de taxi est cool, tu donnes ta destination, le nombre de personnes, la quantité de bagages et on te donne un ticket avec la plaque d’immatriculation de ton chauffeur. On cherche quelques minutes et on trouve le notre, qui refuse de nous prendre car il faut un siège auto pour Gabrielle ! La préposée au taxi nous avez dit que c’était inutile vu l’âge des filles. On change de taxi et donc de numéro de plaque et enfin on prend place dans notre superbe voiture pour l’hôtel Nevski. A l’arrivée, le service est top car le taxi appelle la réception pour être sûr de ne pas nous lâcher n’importe où. Bonne surprise !

On prend possession de la chambre après quelques tractations sur le taxi fantôme qui, a priori, nous attend à l’aéroport et on s’affale dans nos lits car il est quand même 2h30.

Autant vous dire qu’on ne fait pas long feu.

Comments are closed.