Pas de réveil ce matin, enfin, si on met de côté les 2 monstres qui jouent dès 7h15 !
Bon du coup, on se lève et on fait les sacs.
Maéva a reperé un petit temple tibétain (trouver le nom) à l’autre bout de la ville qui nous paraît faisable en une matinée.
On demande à l’acceuil comment y aller et la réponse est : à pieds !
Heureusement, une seconde personne intervient et nous dit de prendre le bus 703.
Ca tombe bien, il passe dans notre rue.
On en prend!. un et nous voilà partis dans les rues de Xi’an.
On arrive vite à destination et, bonne surprise, il est gratuit.
A peine entrés, les filles se font une nouvelle copine chinoise avec sa grand mère.
C’est cool car elles nous guident et nous montrent pleins d’endroits où on aurait peut être pas osé entrer.
La mamie, qui doit avoir pitié de nos filles et de leurs piqûres de moustiques, leur donne même du baume du tigre à étaler dessus.
On voit une séance de prières des moines et ça nous rappelle carrement la Mongolie avec les drapeaux des 5 couleurs (blanc, rouge, bleu, ver et jaune).
Le temple se termine par un genre de parapluie géant où les baleines sont remplacées par des fils d’où pendent ces drapeaux de couleurs.
Pour revenir, on décide de le faire à pieds, car on a du temps et que l’on veut se balader une dernière fois dans la ville.
En plus, aujourd’hui c’est dimanche et il y a pleins de petits stands de rue.
On remonte notre rue en flânant à travers les marchands ambulants.
On s’achète un petit déjeuner Ban Bao, puis on se met en quête d’un déodorant.
C’est mission impossible, 2 explications à ceci : on est nul (ce qui est probable) ou cela n’existe pas en Chine.*
D’après google traductor, le mot “déodorant” a une traduction, on doit être nul.
On tente notre dernière chance à la pharmacie.
Alex lui mîme un mettage de déo et là on comprend qu il ne sera jamais comedien car elle lui sort…un thermomètre !
Il recommence avec le bruit de pschht et la bonne odeur.
Elle nous sort un truc de sous les fagots qui à l’air de ressembler à un déo.
On verra bien !
Sur notre route, on croise un genre de boulangerie qui affiche des baguettes de pain.
En bon Choubidous français, on s’arrête.
Un peu déçu car il n’y pas de pain, mais on trouve quelques gâteaux à la crème vanille et ce qui ressemble à des minis croissants.
Bon, on arrête les achats compulsifs de bouffe et on rentre à l’hôtel pour… manger.
Une fois le ventre plein ou surplein, on prend nos sacs et on retourne au métro pour aller à la gare de train.
On passe tous les contrôles et on attend gentillement notre train.
Le trajet est beau car très rapidement, on se retrouve dans les montagnes embrumées.
Mais qui dit montagnes, dit tunnels et la moitié du trajet se fera sous terre.
On arrive à Chengdu sans la pluie quoi qu’en dise ma mae en bonne pessimiste.
On suit les instructions de l’hôtel et en 30 min, nous y sommes.
C’est une vraie guest house backpacker, ça nous ramène 10 ans en arrière (et ça ne nous rajeunit pas surtout).
Après un repas à petit prix, on file se coucher car la journée a été longue.
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