Après un bon petit déjeuner, on prend un taxi pour la gare de bus. Le trajet en bus doit durer 2h30, et quand on voit notre bus arriver, on s’en réjouit presque. C’est un deluxe bus avec sièges énormes, qui descendent quasi à l’horizontal, repose pied…

On est comme des coqs en pâte !

La route est plutôt calme, chacun lit, écoute la musique ou réfléchit.


La fin du trajet se fait en longeant la mer et on passe même un tunnel sous marin et plusieurs ponts qui permettent d’apprécier la vue.

On arrive vers 13h à l’hôtel où personne ne nous attend. La porte de la chambre est ouverte, la clé et les serviettes sont à l’intérieur. Pas sûr que l’on voit notre hôte du séjour !

On s’installe et on sort à la recherche d’infos sur les ferrys. Quitte à être au bord de la mer, autant aller sur une petite île pour en profiter pleinement.

Cette ville s’avère un peu dure car il n’y a rien en anglais, mais rien de rien, même le information center. On arrive quand même à se faire comprendre et on repart avec les infos que l’on voulait.

La prochaine quête est celle d’un restaurant et bien c’est quasi aussi dure que de trouver un coffre secret dans Zelda pour les connaisseurs.

On finira comme bien souvent au Paris Baguette. Bon, il est 14h aussi quelle idée de vouloir manger aussi tard.

Notre pique nique en poche, on prend un taxi pour le parc Yi Sun Sin. On y découvre une magnifique vue sur la mer et les petites îles environnantes et aussi une mini plage de galets pour manger. Les filles s’amusent comme des folles. 

Le soleil commence déjà à descendre vers l’horizon et nous décidons de ne pas traîner pour pouvoir visiter Dongpirang village. C’est un village avec des peintures murales, encore nous direz vous et bien oui mais ces villages sont tous très différents et nous on aime ça !

Celui-ci est au sommet d’une petite colline assez raide, surtout quand on a froid. La vue d’en haut vaut le coup et les peintures sont toujours aussi variées et sympas. Comme à chaque painting mural village, les filles font des dizaines de photos avec des ailes, Totoro, on en passe et des meilleurs.

En redescendant, on prend la route de l’hôtel qui n’est pas très loin et on passe par le marché aux poissons vivants. On croise des poissons inconnus au bataillon. Ils sont tous dans des minis bassins et certains tentent même de s’évader. Au moment où l’on passe devant un stand, un gros poisson saute de son bassin et atterrit à nos pieds dans l’indifférence la plus totale, jusqu’à ce qu’une dame le reprenne et le remette dans son bassin.

On déambule dans tous ces étals, en imaginant le goût de tous ces poissons.

On finit par rentrer à l’hôtel en aillant repéré un resto pour ce soir.

A l’heure dite, on ressort et on file à notre resto qui est fermé bien sûr. C’est un problème récurent avec les Choubidous, souvent les restos que l’on cherche sont fermés ou tout simplement inexistants. Louise parle même de malédiction !

Bref, on se met en quête d’un autre resto, un autre coffre caché dans Zelda !

On atterrit devant un barbecue coréen de viande, alors en bord de mer c’est un peu bête mais on ne trouve que ça de facile sans parler la langue et puis c’est bon !

On se prend du porc et on se régale.

Après ce bon repas, on rentre se reposer et voir ce que le temps nous prévoit pour demain et ce que nous prévoyons en fonction.

Comments are closed.